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Sylvie DURBEC
Boulbon (Bouches-du-Rhône)

La poésie éveille au monde, tient les yeux ouverts, et les oreilles aussi.
Elle s’écrit sur les genoux dans le noir, comme sur l’écran de l’ordinateur, en pleine lumière. Il s’agit avant tout d’une expérience du temps et de la langue. 


Maternelle, paternelle, langue usée et renouvelée sans cesse par le travail d’écrire.


J’écris parce que la langue manque. Parce qu’elle déborde. Se retire dans la voix des absents. Ouvre la voix comme un fruit tranché, entre blessure et sourire.


Écrire peut se partager. Ensemble on écrit. Donner à lire ensuite ouvre d’autres voies.

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